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Les producteurs ovins du Québec sont généralement forcés de jeter la laine de leur bête, par dépit. Parce qu’il n’y a rien de mieux à faire avec cette laine piquante, malodorante et sale, sous-produit de l’agneau que l’on mange ou de la brebis que l’on trait pour faire du fabuleux fromage.
about 2 months ago