Isabelle Ducas

Il y a deux ans presque jour pour jour, sept personnes périssaient dans l’incendie d’un immeuble du Vieux-Montréal, dont six qui y avaient loué un logement offert illégalement sur Airbnb. Malgré une nouvelle loi provinciale censée faire le ménage dans l’hébergement touristique, 30 % des annonces publiées à Montréal sur la plateforme populaire sont toujours potentiellement illicites, selon une enquête de La Presse. Y compris des appartements dans des bâtiments d’Émile Benamor, propriétaire de l’immeuble incendié. Une enquête d’Isabelle Ducas.

Il y a deux ans presque jour pour jour, sept personnes périssaient dans l’incendie d’un immeuble du Vieux-Montréal, dont six qui y avaient loué un logement offert illégalement sur Airbnb. Malgré une nouvelle loi provinciale censée faire le ménage dans l’hébergement touristique, 30 % des annonces publiées à Montréal sur la plateforme populaire sont toujours potentiellement illicites, selon une enquête de La Presse. Y compris des appartements dans des bâtiments d’Émile Benamor, propriétaire de l’immeuble incendié. Une enquête d’Isabelle Ducas.

Il y a deux ans presque jour pour jour, sept personnes périssaient dans l’incendie d’un immeuble du Vieux-Montréal, dont six qui y avaient loué un logement offert illégalement sur Airbnb. Malgré une nouvelle loi provinciale censée faire le ménage dans l’hébergement touristique, 30 % des annonces publiées à Montréal sur la plateforme populaire sont toujours potentiellement illicites, selon une enquête de La Presse. Y compris des appartements dans des bâtiments d’Émile Benamor, propriétaire de l’immeuble incendié. Une enquête d’Isabelle Ducas.

Tempête hivernale | Vague d’entraide sur Facebook

Le registre des loyers de l’organisme Vivre en ville a permis à un locataire montréalais d’économiser 600 $ par mois, mais il lui a fallu beaucoup de chance et de persévérance pour faire respecter ses droits. La plupart des locataires n’ont pas cette possibilité, déplore l’organisme, qui souhaite que le registre devienne obligatoire.

Qui a décidé de démanteler une partie du campement qui longe la rue Notre-Dame, lundi, à Montréal ? Et qu’adviendra-t-il des autres tentes dressées à une quinzaine d’endroits sur les terrains du ministère des Transports ?

Au lendemain du dépôt de son dernier budget à titre de mairesse de Montréal, Valérie Plante a accordé une entrevue à La Presse dans son bureau de l’hôtel de ville. Au menu, transport actif et collectif ainsi que lutte contre l’itinérance.

Les Montréalais verront leurs taxes municipales grimper de 2,2 % en 2025. Une hausse moins salée que les années précédentes, qui ajoutera tout de même 135 $ à la facture moyenne des propriétaires, alors que l’administration de Valérie Plante choisit d’investir des sommes records en habitation.

Des résidants du Vieux-Montréal s’inquiètent de possibles risques d’incendie dans des immeubles patrimoniaux voisins de celui qui a été réduit en cendres le 4 octobre, tuant une visiteuse française et sa fille de 7 ans, qui passaient la nuit dans une auberge de jeunesse.

Des citoyens du quartier Villeray habitant dans des secteurs visés par un projet-pilote de marquage des places de stationnement sur rue dénoncent la perte de dizaines d’espaces pour les voitures.

À la recherche de solutions à la crise de l’itinérance, la mairesse de Montréal, Valérie Plante, demande plus d’efforts du réseau de la santé et des services sociaux pour venir en aide aux sans-abri ayant des problèmes de santé mentale, « environ 300 ou 400 personnes », qui dérangent dans l’espace public.

La Ville de Montréal et le gouvernement du Québec veulent faire déménager le centre de jour de la Maison Benoît Labre, qui accueille des sans-abri près d’une école primaire. Mais comment s’y prendront-ils, étant donné que l’organisme est propriétaire de son immeuble dans le quartier Saint-Henri ?

À l’approche de la rentrée scolaire, Montréal demande le déménagement des services de jour pour les itinérants de la Maison Benoît Labre, située à un jet de pierre d’une école primaire, ce qui rend la cohabitation difficile.

Les locataires montréalais qui doivent déménager paient 23 % plus cher leur nouveau logement, et ils sont beaucoup plus à risque de vivre un épisode d’itinérance, selon de nouvelles données dévoilées mercredi par l’organisme Vivre en ville.

Ajouter « Hi » après avoir dit « Bonjour » à un client entrant dans un commerce n’est pas nécessaire à Montréal, selon la mairesse Valérie Plante, qui se dit préoccupée par l’augmentation de cette formulation dans les artères commerciales de la métropole.

Trois pour cent des ménages locataires au pays ont vécu une expulsion de leur appartement, et ils risquent d’être encore plus nombreux dans cette situation en raison de l’aggravation de la crise du logement, préviennent les défenseurs des droits des locataires.

Les Québécois des autres régions sont de moins en moins nombreux à déménager à Montréal, surtout les jeunes adultes. C’est ce qui explique en grande partie le déficit migratoire interrégional de la métropole, peut-on conclure en analysant les données diffusées jeudi par l’Institut de la statistique du Québec (ISQ).

Après trois ans sans évènement d’envergure pour célébrer le passage à la nouvelle année, les Montréalais pourraient être en mesure de renouer avec les festivités à la fin de 2024.

Pour tenter de stimuler la construction résidentielle, qui tourne au ralenti, la Ville de Montréal suspend pour deux ans une partie des contributions que doivent verser les promoteurs pour le logement social, une mesure qui peut représenter une économie de 3000 $ à 4000 $ par porte pour un grand projet.

Évoquant un climat politique difficile dans sa ville, mais aussi pour tous les élus municipaux, la mairesse de Gatineau, France Bélisle, a annoncé sa démission jeudi matin, disant vouloir préserver sa santé. Une décision qui a provoqué une onde de choc dans le monde municipal.