Gérald Fillion

L'homme d'affaires est d’avis que le Canada doit revoir son approche et ses politiques fiscales et miser sur la création de richesse.

L’Agence internationale de l’énergie le dit clairement: les investissements dans les énergies renouvelables sont massifs, mais doivent l’être encore davantage.

Impôts, approche en matière d'énergie, position sur le libre-échange : qu'est-ce qui différencie les candidats à la présidentielle américaine?

François Legault et son ministre de l'Économie ne tiennent pas le même discours.

Avec une économie au ralenti, un chômage en hausse et une inflation en baisse, la Banque du Canada devrait poursuivre sa politique d’assouplissement monétaire.

Révolution énergétique au Québec, taux d'intérêt, Bombardier, le dossier de l'immigration et Nvidia; le point sur les nouvelles majeures en économie.

Sortir des logements du marché spéculatif, comme l'a fait le politicien du Vermont en mettant en place une fiducie foncière communautaire, favorise l'accès.

Loin de préparer la fin de la production, Ottawa mise notamment sur la séquestration de carbone pour offrir du pétrole « plus propre » sur les marchés.

La nouvelle agence qu'entend créer le gouvernement pourrait à tout le moins permettre de s'éloigner d'une gestion axée sur les choix politiques.

Les choix ne peuvent se limiter éternellement à éponger les déficits ou à réduire l’offre. Il faut un changement de paradigme, nous dit Gérald Fillion.

Peu d’entreprises peuvent imposer, d’un coup sec, une hausse de prix brutale de 10 % à leurs clients, de 15 à 20 cents le litre, en quelques heures.

La solution contre l'inflation proposée en pleine télévision par le PDG de Kellogg fait réagir parce qu'elle occulte plusieurs aspects du problème.

Si on veut réussir la transition afin de s’éloigner des énergies fossiles, pour reprendre l’esprit de l’entente conclue à la COP28, il faut résolument poursuivre et accélérer les investissements dans le transport collectif. Or, sur ce plan, le Québec avance à pas de tortue.

L’inflation ralentit au pays, mais les coûts associés au logement explosent. Les prix des loyers ont grimpé, en moyenne, de 8,2 % d’octobre 2022 à octobre 2023, selon les données diffusées mardi par Statistique Canada. Et la forte hausse démographique au pays ne serait pas du tout étrangère à cette situation.

Accueillir plus d’immigrants chez nous, est-ce une bonne solution pour atténuer la pénurie de main-d’œuvre? Les économistes ne s’entendent pas et les politiciens tendent à choisir les études qui font leur affaire. Décryptage.

Malgré des besoins criants, le ministre n'a pas voulu déroger à son plan dans sa mise à jour économique.

Il y a de ces experts, l’investisseur François Trahan en tête, qui nous annoncent le pire : une grave récession, une chute des marchés de 35 % d’ici deux ans, notamment. Et il y a beaucoup d’autres économistes qui évoquent un simple atterrissage en douceur, les États-Unis étant même sur le point, selon eux, d’éviter la récession. Qui donc a raison?

À Ottawa comme à Québec, la rhétorique de l’opposition au sujet de l’inflation donne l’impression que les gouvernements Trudeau et Legault sont responsables de la hausse du coût de la vie. Ce raccourci, qui est loin d’être le seul dans le discours politique actuel, mérite d’être recadré à partir des faits et des données disponibles.

Si le ministre Fitzgibbon en a fait sursauter plusieurs, le Forum économique mondial va encore plus loin.

Sommes-nous prêts à payer plus pour adapter notre territoire aux bouleversements climatiques en cours?