Le gouvernement du Québec l’a bien compris : le maintien au travail des travailleurs expérimentés est une des solutions à la pénurie de main-d’œuvre. Toutefois, il appert que sa généreuse mesure fiscale pour l’encourager ne donne pas de résultats probants.
On s’y attendait, mais pas à ce point. Les deux principaux partis ont déversé une véritable pluie de bonbons fiscaux, lundi, du jamais-vu dans une campagne électorale au Québec depuis près de 25 ans.
Comme bien des militants de gauche dans le monde, Québec solidaire veut imposer les grandes successions et ainsi contribuer à réduire les inégalités de richesse.
« Les colonnes du temple vont shaker. » Ces termes utilisés récemment par Christian Dubé reflètent bien les effets qu’auront Santé Québec et la nouvelle loi sur l’efficacité en santé.
Le Québec, on le sait, a un coût de la vie généralement plus bas qu’ailleurs depuis de nombreuses années, notamment grâce aux logements et à l’électricité moins chers. Mais sera-ce le cas encore longtemps ?
Le même groupe d’économistes fait cette analyse depuis une quinzaine d’années, essentiellement. Et pour la première fois, ceux-ci tirent une conclusion fort encourageante sur l’avenir budgétaire à long terme du Québec.
Vous voulez une image simple pour comprendre ? La voici : chaque voiture électrique équipée de cellules de batterie Northvolt du Québec aura coûté 3000 $ de subventions des gouvernements du Québec et du Canada.
Ce qui distingue le Québec du Canada, côté emploi ? La proportion nettement plus grande de femmes et de jeunes qui travaillent. Et le rattrapage salarial bien plus rapide des femmes.