Émilie Pelletier

Quatre ans plus tard, Bruno Marchand défend son bilan et ne tarit pas d’«ambition» pour porter la cause de l'itinérance s’il est réélu pour les quatre prochaines.

Si aussi peu de gens croient aujourd’hui au projet de troisième lien, c’est la faute du premier ministre François Legault et de ses «hésitations», critique le maire de Lévis.

Québec a survécu à un premier week-end sans autobus, en plein Festival d’été.

Bruno Marchand est le premier à avoir complété son équipe en vue des prochaines élections. Une équipe paritaire, «variée», et plus féminine que masculine.

Se stationner au centre-ville, et particulièrement dans le Vieux-Québec, est toujours un «casse-tête» pendant le FEQ. Et cette année risque de ne pas faire exception, bien au contraire.

Le Corridor lorettain aurait jadis pu être transformé en une autoroute. Mais le milieu naturel a gardé sa vocation et se verra bientôt bonifié d’une piste cyclable pour faire le «trait d’union» avec le réseau de la Ville de Québec.

Les maquettes du dernier projet de troisième lien en lice sont plus précises à Lévis qu’à Québec. Mais citoyens et entreprises n’ont pas pour autant d’idée claire de ce qu’ils en pensent.

La ministre des Transports a le fardeau de démontrer que son éventuel troisième lien ne viendra pas contrecarrer les efforts déployés, demande le maire Bruno Marchand.

Après avoir construit à grands frais une nouvelle centrale pour ses policiers depuis 2021, la Ville de Lévis démarre ses analyses sur l’avenir de l’ancien poste voisin et de son terrain.

Le maire Bruno Marchand mise sur son attachée de presse, Elainie Lepage, pour conserver le district de Saint-Roch—Saint-Sauveur.