Sophie Durocher

M. Bouchard a comparé la censure qui s’exerce aujourd’hui envers certains mots à la censure exercée à une certaine époque au Québec par les religieux.

Les petits donneurs de leçon sont rendus partout. Les emmerdeurs professionnels ont infiltré toutes les sphères de la société.

J’aimerais poser quelques questions... auxquelles je n’ai pas de réponses.

Il n’y aura pas cette année d’émission «tapis rouge» avant le Gala des Gémeaux ni avant le Gala de l’ADISQ.

Comment trouver les mots devant l’horreur, l’inhumanité, le terrorisme?

Louis-José Houde est mon nouveau héros. Vous avez entendu, au gala de l’ADISQ, son magnifique plaidoyer pour le «français québécois»?

Mon étoile de la semaine, non du mois, non de l’année, va à Manuel Tadros.

J’ai pensé que c’était une victime d’attentat!

Quelqu’un peut-il dire aux journalistes français que tous les Québécois ne commencent pas tout le temps leurs phrases en disant «tabarnak»?